Alain Cayol, sera fixé sur son sort le 8 avril prochain. Le directeur du PACT comparaissait depuis lundi pour harcèlement sexuel.C’est la première affaire de ce type jugée en correctionnelle en Martinique. Lors des plaidoiries, l’avocat d’Alain Cayol a demandé la relaxe de son client estimant que le dossier était vide. Pourtant deux témoignages ont été dans le sens de l’accusation. Le ministère public a d’ailleurs requis 10 mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende.